Hier j’ai reçu un mail de Nicolas.
Et ça va me donner l’occasion de vous parler d’une des tendances les plus à la mode en marketing.
Et c’est un concept essentiel si vous voulez grossir vite et avoir de l’impact avec votre projet.
Voilà ce que me dit Nico :
“
J’ai eu une discussion forte intéressante hier soir avec une amie, sur nos expériences de vies de trentenaires actifs… Et je lui faisais part de mon impression d’accumuler des échecs…
Je lui ai expliqué que j’avais le sentiment de continuer à faire des erreurs, à les répéter, à ne pas avancer, bref, à aller d’échec en échec… Tu sais le moment où tu te sens déprimé et perdu et où tu ne vois que ce que tu n’as pas réussi à atteindre… et je m’attendais à avoir l’éternel refrain du genre « on a tous quelque choses à apprendre de nos erreurs bla bla… faut en tirer des leçons… voir le côté positif… »
Sauf que là, j’ai eu un discours différent, calquer sur son passé de scientifique / thésarde…
Ce n’est pas parce que le résultat n’est pas le résultat escompté qu’il n’y a pas de résultats du tout…
Et bien souvent en recherche, c’est presque toujours le cas, le résultat obtenu n’est quasiment jamais le résultat escompté, et ce n’est pas un échec… alors pourquoi le voir comme un échec quand on l’applique à nos expériences de vies et aux choses que l’on entreprend ?
Ce que j’ai compris hier soir, c’est que se lancer en espérant obtenir le résultat souhaité, c’est utopique, il faut se lancer, analyser le résultat obtenu et ensuite ajusté pour essayer de s’approcher du résultat escompté !”
A ce stade là *|FNAME|*, je n’ai presque plus rien à ajouter.
Nico a tout compris.
Si bien que cette démarche “scientifique” est devenu un élément ultra-central de l’entrepreneuriat aujourd’hui.
On se fiche pas mal de l’idée.
Tous les entrepreneurs vous le diront.
Ce qui compte c’est d’émettre des hypothèses et de les tester.
De se planter, et d’ajuster.
Recommencer.
Se planter.
Apprendre et rechercher pourquoi.
Et recommencer.
Encore.
Et encore.
Et encore.
C’est difficile à faire, mais il y a un secret.
Diminuer le coût de l’erreur.
Pour pouvoir tester le maximum d’hypothèse.
En tout cas une chose est sûr : on ne trouve pas du premier coup.
Ceux qui vous diront le contraire n’y connaissent strictement rien.
Ils racontent des histoires qui donnent envie.
Mais l’envers du décors est un cimetière d’hypothèses foireuses.
Et c’est très bien comme ça.
C’est un peu comme ça que fonctionne le Vivant.
Essai – erreur – essai – erreur – essai – erreur.
Donc si vous avez une idée du tonnerre *|FNAME|*, lancez vous.
Vite.
Confrontez la à votre communauté.
Amusez vous de voir la prédiction se réaliser : on va vous rire au nez.
Pas grave, questionnez, écoutez, apprenez.
Modifiez vos hypothèses, et re-faites une expérience.
Je remercie l’analogie de Nicolas. Elle est excellente.
L’entrepreneuriat c’est la science de l’expérimentation marketing.
On rassemble des ressources, on fait des hypothèses et on teste.
Il n’y a pas de succès ou d’échec.
Juste des expériences, qu’on veut aussi peu chère et rapide possible.
Et on en veut plein. Plein. Plein.
Compris *|FNAME|* ?
C’est essentiel pour se lancer.
Lancez vous à bas coût.
Un groupe Facebook ou un site très simple avec un blog feront très bien l’affaire pour tester l’intérêt de votre idée.
Je parie mon béret que je vais retrouver Nicolas au sommet d’un truc fantastique dans moins de deux ans.
Il a compris.
Il ne lui reste plus qu’une seule chose à faire.
Ne rien lâcher.
Comme vous *|FNAME|*.
N’oubliez pas, il y a des gens, des gens que vous ne connaissez pas, humains ou non humains, qui comptent sur vous.
A vous de jouer.
A demain.
Maxence
PS: pour ne rien lâcher, inscrivez vous à la formation de 5 emails gratuits.
C’est le dernier jour pour le faire.
Je récolte les résultats demain.
Un grand (très grand) laboratoire.