Ca fait 2 jours que mon service de messagerie me joue des tour en me faisant croire que le message est parti…alors que non. Désolé pour la pause café.
En ce moment je bosse à fond sur la formation qui vous permettra de trouver une idée qui correspond à vos valeurs de Robin.e des Bois et qui vous permettra de quitter votre job pourri (si vous en avez un) sans devoir manger des patates pendant 2 ans.
Un truc que vous pourrez lancer et tester en deux temps trois mouvements.
Et le faire grossir tranquillement jusqu’à ce que vous puissiez en vivre.
(Et le faire encore plus grossir pour piquer des parts de marché à l’ancien monde tout en construisant le nouveau. Mais ça, ce sera pour plus tard. Une chose après l’autre Bastien)
Le plan de cette formation est fin prêt.
Reste plus qu’à, comme dirait l’autre.
…
Mouais… Pas évident de se jeter à l’eau.
Ca parait plus facile dans les films et les bouquins.
Une bonne idée, des gens qui vous apportent des malettes de billets et hop une bonne cuite pour fêter ça.
Foutaises.
Vous avez le trac.
(et vous l’aurez toujours)
Et ça me fait venir au point dont je voulais vous parler.
Quand on parle d’entrepreneuriat, on imagine Steve Jobs.
Ou le petit artisan du coin éventuellement.
Ou un.e consultant.e qui bosse à son compte.
Ou encore un marchand qui revend des trucs sur les marchés ou dans une boutique.
Et tout ça c’est vrai. C’est des entrepreneurs.
Mais tout ceux là, si vous voulez mon humble avis, ils fouttent la trouille aux gens comme vous et moi.
Soit parce qu’ils sont trop grands,
Soit parce qu’ils donnent l’air de galérer,
Soit parce que niveau reconnaissance sociale c’est pas folichon.
Et puis y’a ceux qui inspirent.
Qui pourraient être nos nous de dans 10 ans si on se bougeait un peu le popotin.
Ceux qui paraissent ordinaires et qui pourtant font des trucs de dingues.
Ceux là sont pas forcément très médiatisés.
Mais ils et elles changent le monde à leur échelle, discrètement, organiquement.
Et eux, pour la plupart, ne sont pas nés entrepreneurs.
C’est là où je veux en venir Bastien.
La plupart, ce sont des gamins qui s’amusaient à faire leur truc dans leur coin.
Qui ont trouvé des copains qui avaient envie de jouer avec eux ou d’acheter ce qu’ils étaient en train de bricoler.
Et un beau jour ils et elles se rendent compte qu’ils ont un truc sérieux sous la main.
Que y’a pas mal de gens qui sont d’accord avec ce qu’ils et elles font.
Et là, ils s’arrêtent, se retournent, regardent ce qu’ils ont bâtis.
Et se rendent compte qu’ils peuvent en créer une boîte.
Ca Bastien, c’est les plus belles histoires d’entrepreneuriat.
Les monsieurs et les madames tout le monde qui ont testé plein de truc pour s’amuser.
Et puis hop, tiens là, y’a un truc qui mord.
Au pire c’est un truc tout petit.
Pas grave on recommence, c’est amusant.
Et au mieux c’est quand même assez gros, ça vaut le coup de s’y pencher.
C’est comme ça que naissent les boîtes Bastien.
Comme pour la gymnastique.
Si je vous dit gymnaste, vous pensez acrobaties de dingue.
Jeux olympiques et tout le tralala. Vous pensez Steve Jobs de la barre asymétrique.
Moi je pense au gamin qui s’entraîne à faire des roulades tous les soirs.
Qui tente des trucs dans des bacs en mousse.
Et qui finit à faire des compètes de fou.
Tous les gymnastes commencent par faire des roulades.
La formation que je vous concocte c’est pour apprendre à faire des roulades.
Des roulades qui, un jour, auront un vrai impacte sur le monde.
Mettons de côté le stress, et le trac Bastien.
L’entrepreneuriat est un jeu.
C’est ce qu’on va voir ensemble.
Un grand jeu avec des arcs et des flèches pour aller botter le cul de l’ancien monde.
A demain.
Maxence
"Okay chef, tu m’as mis la pêche, t'as gagné ton café aujourd'hui"
|
